Vietnam's Genecidal History vs. Khmers/Cambodian (Histoire de Kampup Tè Ong)

 

 

 

Histoire de Kampup Tè Ong extrait de Dr. A. Pannetier : Notes cambodgiennes, Au Cœur du Pays Khmer, Ed. Payot, Paris 1921, p. 15-16

 

 

Voici – cent fois entendu – un raffinement de cruauté, gravé en traits indélébiles dans la mémoire des habitants :

 

Trois par trois, des Cambodgiens sont enterrés vivants jusqu’au cou, ou simplement amarrés à même le sol, de sorte que leurs têtes viennent s’opposer en triangle. C’est sur ce trépied pensant, que le vainqueur va poser sa marmite ; c’est sur ce support d’angoisse, que cuira son riz, qu’infusera son thé. Détail horrifiant : la satanique cuisine va déjà son train… ; entre les crânes, la flamme serpente, la fumée monte, la braise pétille… ; les hurlements des suppliciés n’ont guère duré… ; sous leurs derniers hoquets, sous les soubresauts convulsifs de leur triple agonie, l’infernal appareil achève de trépider… Et le cercle implacable des tortionnaires, fils de l’Annam, de ricaner jusqu’au bout froidement, sarcastique, empruntant à ses victimes leur propre langue : « Chhop sen, véi ! Sngiem véi ! Kompup Tè Ong » Finissez donc ! Ne bougez plus ! Voyons ! Vous renversez le thé du Maître (annamite).

 


 

Unofficial translation by Jane.

 

History of Kompup Tè Ong excerpt from Dr. A. Pannetier : Notes cambodgiennes, Au Cœur du Pays Khmer, Ed. Payot, Paris 1921, p. 15-16

 

 Here - heard hundred times - a refinement of cruelty, engraved into the indelible memory of (Khmer) people:

 

Three by three, Cambodians are buried alive up to their necks, or simply tied up at the same level of the ground, so that their heads represent a triangular stand for a wood stove.

It is on this human stand that the winner will put his pot; it is on the stand of anxiety that will be cooked his rice, boiled his tea. Horrifying detail: the kitchen will have a satanic course ... and the flames swing between the skulls, the smoke rises, the embers crackle ..., the screams of the tortured victims hardly lasted, with their last gasps and their convulsive agony, the infernal torture stops shaking. The group of cruel torturers, sons of Annam, laugh coldly in an ironic way and use the language of the victims: « Chhop sen, véi ! Sngiem véi ! Kompup Tè Ong » Hey stop ! Don’t move any more ! You spill the tea of the Master (Annamite/Vietnamese master).




15/12/2011
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