Mak Phoeun

 

Ph.D Thesis : Les chroniques royales du Cambodge (de pognir Yat jusqu'à la prise de Longvek). Traduction française avec comparaison des différentes versions et introduction. Thèse de 3° cycle, Paris X, 1975

 

Main publications :

 

 

-         (en collaboration avec Po Dharma) " La première intervention militaire vietnamienne au Cambodge (1658-1659) ", BEFEO, T. LXXIII : 285-318, 1984.

 

-         (en collaboration avec Po Dharma), " La deuxième intervention militaire vietnamienne au Cambodge (1673-1679) ", BEFEO, T. LXXVII : 229-262, 1988.

 

 

-         " La frontière entre le Cambodge et le Vietnam du XVII° siècle à l’instauration du protectorat français présenté à travers les chroniques royales khmères ", in P. B. Lafont (ed.), Les frontières du Vietnam. Histoire des frontières de la péninsule indochinoise, Paris, L’Harmattan, Travaux du CHCPI : 136-155, 1989.

 

-         " Le phénomène urbain dans le Cambodge post-angkorien ", in P.B. Lafont (éd.), Péninsule indochinoise : études urbaines, Paris, L’Harmattan, Travaux du CHCPI : 39-54, 1991.

 

-         " Les pouvoirs politiques au Cambodge et les données de l’histoire : l’exemple des factions khmères rivales des dernières décades du XVII° siècle ", in 2ème Symposium franco-soviétique sur l’Asie du Sud-Est, Moscou, Institut d’orientalisme de l’Académie des sciences de l’URSS : 278-294, 1993.

 

-         (en collaboration avec Po Dharma) " La troisième intervention vietnamienne au Cambodge ", BEFEO, n°92, 2005  : 339-381, 2005.

 

 

- (avec Po Dharma), " La troisième intervention vietnamienne au Cambodge ", BEFEO, n°92, 2005  : 339-381.

MAK PHOEUN et PO DHARMA
La troisième intervention vietnamienne au Cambodge (1679-1688)
La troisième intervention vietnamienne au Cambodge débuta en 1679 avec l’arrivée sur le territoire viêt contrôlé par les Nguyên de militaires chinois qui avaient quitté leur pays après la défaite des Ming. Craignant qu’ils ne menacent son autorité, le seigneur Nguyên s’en débarrassa en les dirigeant vers le Cambodge et en installant un poste militaire à Prei Nokor (Sài-côn), en plein territoire khmer. S’ensuivit alors dans ce pays, de 1682 à 1688, une « phase militaire » qui opposa les partisans du roi Jayajetthā III et ceux de l’ubhayorāj Padumarājā. Mais alors que les textes ne faisaient état pratiquement que d’unités viêt envoyées par les Nguyên pour épauler l’ubhayorāj khmer, cette fois ce sont surtout les Chinois anciens partisans des Ming précédemment évoqués, que les textes mettent en avant. Si plusieurs documents khmers et occidentaux font jouer à ces Chinois un rôle déterminant à côté de troupes viêt en faveur de l’ubhayorāj, un certain nombre d’entre eux mentionnent aussi la présence de troupes siamoises dans le camp du roi Jayajetthā III. En revanche, aucun texte vietnamien ne parle d’un engagement de troupes viêt au Cambodge pendant cette période.

 

 

 

and:

Histoire du Cambodge: De la fin du XVIe siecle au debut du XVIIIe ...

 

 

 

 

 



13/06/2011
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